À l’instar du hockey et du patinage artistique, le patinage de vitesse est une des grandes disciplines du sport d’hiver, autrement dit, du sport de glisse sur glace. Il a vu le jour dans le treizième siècle au Pays-Bas. D’ailleurs, en référence à Wikipédia, « La première compétition connue de la discipline est organisée en 1676 aux Pays-Bas. La première compétition officielle a lieu en 1863 à Oslo, en Norvège. Les premiers championnats du monde ont lieu en 1889 aux Pays-Bas. » En outre, le patinage de vitesse fait partie des disciplines des jeux olympiques depuis 1924. Pour savoir s’il est facile ou non d’apprendre le patinage de vitesse, nous vous invitons à parcourir ces quelques lignes.
Acquérir les bases du patinage
Tout comme les autres disciplines du patin à glace, apprendre le patinage de vitesse requiert avant tout la maîtrise des bases du patinage. En d’autres termes, il faut savoir se tenir debout sur la glace en portant des patins aiguisés, et être capable de glisser sans se tortiller les chevilles ni tomber à chaque quelques mètres faites. Il est ainsi question d’équilibre.
Par ailleurs, comme la prudence et la sécurité sont toujours d’une grande aide, nous vous conseillons de choisir des patins qui correspondent parfaitement à votre pointure pour éviter les gênes et les blessures. Portez également un casque et des gants, notamment du style mitaines des neiges, pour ne pas vous blesser en tombant pendant l’apprentissage des bases ainsi que lors des séances d’entraînement. N’oubliez pas non plus les protèges cou de hockey.
Optimiser la vitesse et développer l’endurance
Le patinage de vitesse désigne une course d’endurance entre deux patineurs sur une piste circulaire. Selon les règles du jeu, les deux concurrents courent chacun dans un couloir en s’échangeant leur couloir à chaque tour, particulièrement dans la ligne droite. La distance à parcourir par les patineurs est de 5 000 mètres pour les dames et de 10 000 mètres pour les hommes.
Le patineur peut recourir à différents moyens pour arriver à développer son endurance et sa vitesse. On peut citer, entre autres, les courses à pieds, le footing, la bicyclette, le relais ainsi que la natation. Ces types de sports sont des exemples types de sport d’endurance et de vitesse. Tout ça pour dire qu’en patinage de vitesse, le record ou le temps est le plus important. C’est ce qui détermine le nom du gagnant.
Développer le rapport intellectuel/physique et travailler la flexibilité
Un sportif de renommé est en principe une personne qui sait bien allier son corps et son cerveau. C’est au fil des entraînement qu’il saura à quel moment il va falloir accélérer sa vitesse, comment examiner le fonctionnement de son adversaire, quelle technique adopter pour devancer l’autre lors des échanges de couloir, etc. Eh oui, le sport n’est pas limité aux efforts physiques. Le côté intellectuel y trouve bien sa place, et pas que peu. Bref, le développement physique va de pair avec le développement psychologique.
Par ailleurs, il est également indispensable pour le patineur de vitesse de travailler sa flexibilité. Pour cause, la piste de course est un terrain glissant. De ce fait, maintenir l’élan et tourner dans les virages sont assez compliqués. Ainsi, plus le patineur est apte à bien se mouvoir, plus il a une chance de gagner.
S’entraîner régulièrement et se faire des challenges
Les connaissances et les aptitudes acquises peuvent s’oublier au fil du temps, notamment sans des séances d’entraînement régulier. En effet, les entraînements permettent au corps et au cerveau de retenir, puis d’appliquer naturellement (sans avoir l’impression de faire beaucoup d’effort) les théories et les pratiques apprises. Enfin, se faire des challenges permet au patineur de vitesse de s’améliorer et de battre de nouveaux records.
En résumé, apprendre le patinage de vitesse est assez facile. Il suffit d’apprendre les bases du patinage en général, de s’entraîner régulièrement, de se maintenir en forme et de s’améliorer.